lundi 8 septembre 2014

Strasbourg l'aventure continue

Mes Aphrodites,

Je souhaite que vous soyez en forme ainsi que les êtres aux quels vous êtes attachés. Continuons la journée. Après la perte du portefeuille, nous nous arrêtons pour déguster un bon repas. Nous décidons de commander des spécialités alsaciennes : flamenkuch et une salade pour moi sans dessert. 
Nous décidâmes ensuite de nous rendre à notre hôtel. En effet, celui-ci était censé se situer à une dizaine de minutes de la gare. C'est le cas à condition de prendre le tram, cela n'est pas grave mais il va falloir se lever à 5h30 tous les matins pour pouvoir avoir le bus de 9h00 qui nous conduira à Rust. L'avantage c'est que ces réveils matinaux vont me permettre de me mettre en jambe pour la reprise du travail.



Nous sommes arrivées à l'hôtel donc nous allons à la borne pour retirer notre réservation dans la joie et la bonne humeur.

Ah oui, oui, oui, mais j'ai oublié de vous dire que nous avons mis environ 45 minutes pour trouver notre hôtel. Gribouillie et moi ne savons pas lire un plan. Nous sommes partie dans la direction opposée. Il faut dire qu un panneau d'indication , une affiche publicitaire nous a guidé et nous l'avons suivi. Seulement, les panneaux publicitaires sont fait pour: je vous le donne dans le mille les automobilistes.

Heureusement, nous avons trouvé un fast-food qui nous a indiqué le chemin, je ne vous raconterai pas mon mal de pieds. Nous voilà à bon port.  Nous nous dirigeons vers le guichet automatique pour récupérer notre carte. Surprise, nous ne trouvons pas notre réservation et  l'accueil est fermé. Gribouillie téléphone chez ses parents afin d'obtenir un numéro de réservation. On ne sait jamais. Malgré tout rien ne fonctionne. Fatiguée, exaspérée Gribouillie souhaite s’asseoir sur un plot de trottoir pour se calmer et retrouver des forces, elle manque de tomber. Bha oui, sacre bleu, il ne s'agissait pas d'un plot de trottoir mais d'un cendrier caché et bien caché.  Providence oblige, elle ne s'est pas blessée, la jupe a été très abîmée mais cela n'est pas grave.



Une jeune femme sort de la chambre, nous salut et nous demande ce que nous faisons ici. Nous lui expliquons que nous ne trouvons pas notre réservation. Par chance, elle travaille dans l’hôtel et elle nous conseille de frapper à l'accueil tout en nous confirmant la présence de son collègue. Aimable, charmant, il nous ouvre la porte, s'excuse et prend le temps d'expliquer que l'erreur vient du site internet.

Nous pouvons enfin poser nos affaires et nous rafraîchir.
Bonne journée 

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